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samedi 15 mars 2014

Boot camp Capra - 300-3D

Quatre filles contre Thomas
"300 - 3D", un entraînement qui trouve son inspiration dans la bataille des Thermopyles avec des exercices par séries ou répétions de 300 et un combat final, inégal en nombre. Comme les 300 spartiates qui combattirent l'armée perse bien plus nombreuse, Thomas devra affronter, tout seul, quatre filles puis trois garçons. 

L'entraînement des hoplites
Mais revenons au commencement... L’armée occupe une place particulière à Sparte, cité où tous les citoyens en âge de porter les armes sont censés être des hoplites (fantassins lourds) et, en conséquence, subissent depuis leur enfance une éducation qui doit les préparer au combat. C'est notre entraînement sur le quai de Valmy...



Guerriers de Sparte
Plutarque écrit que la seule réputation des hoplites spartiates « frappait d'effroi leurs adversaires qui, même avec des forces égales, ne se croyaient pas capables de lutter sur un pied d'égalité contre des Spartiates. »

La bataille de Salamine
Tout comme le péplum américain, sorti au cinéma, le 5 mars dernier, nous avons misé sur des hommes forts et n'avons pas hésité  à mobiliser les Vedettes du Pont Neuf pour la bataille de Salamine. Notre mer Egée, c'est le canal Saint-Martin !

L'entraînement à la guerre
La discipline spartiate se nourrit de l'importance particulière accordée à la « belle mort », c'est-à-dire la mort au combat, avec des blessures faites par-devant. Le citoyen mort à la guerre a droit à une stèle à son nom, alors que les autres doivent se contenter de tombes anonymes.



Des spécialistes du combat
Sparte apparaît aux autres cités grecques comme une spécialiste du combat : en décrivant la cérémonie des ordres donnés le matin par le roi à ses troupes, Xénophon note : « si vous assistiez à cette scène, vous penseriez que tous les autres peuples ne sont, en fait de guerre, que des improvisateurs, et que les Lacédémoniens seuls sont vraiment des artistes en art militaire. »





Pugilat
Dans les compétitions panhelléniques, comme les Jeux Olympiques, les Grecs de l'Antiquité livrent trois sortes de combat : la lutte, le pugilat et le pancrace. Ils se pratiquent nus comme toutes les autres épreuves sportives, dans un espace non délimité et sans distinction entre les catégories de poids.

Dans le pugilat, les coups ne doivent se donner qu'à la tête et il faut bien maintenir sa garde. Notre pugilat ressemble plus à du taekwondo et personne ne combat nu !






La lutte
Les épreuves de lutte se déroulent dans un espace non délimité et sans distinction entre les catégories de poids ; les lutteurs sont donc le plus souvent massifs. Si les poids lourds semblent avantagés, le fait d'être plus léger confère à l'adversaire souplesse et rapidité de réaction.

Comme dans la lutte contemporaine, un athlète doit renverser son adversaire sur le sol ; la hanche, l'épaule, les fesses ou le dos doivent nettement toucher le sol lorsqu'il tombait. Pour gagner le match, il faut faire tomber son adversaire trois fois. On a le droit de casser les doigts de son concurrent... On n'est pas allé jusque là !









Grappling
Le boot camp se termine par une séance de grappling : toutes les filles contre Thomas puis tous les garçons contre Thomas... Là on n'a pas d'images car le photographe est un garçon ! C'est alors un gros défoulement et un grand délire qui font s'interroger les promeneurs du quartier de La Grange aux Belles !!!

Thomas porté en triomphe
Vainqueur de ses deux combats, seul contre toutes puis tous, Thomas est porté en triomphe par ses adversaires. Promis, il y aura de nouveau du grappling au boot camp !

Pour participer au prochain boot camp : manager@gregory-capra.com

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