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jeudi 31 octobre 2013

Les coachs Capra : ils améliorent la plasticité de votre cerveau !

Grégory Capra - Coach sportif
On sait aujourd’hui qu’au-delà de la tonicité musculaire et des bienfaits cardiovasculaires, que le sport modifie notre biochimie. Cette biochimie régule notre activité, nos humeurs, nos envies, nos émotions, notre sommeil, notre attention, notre capacité à apprendre, notre mémoire…etc. Fabriqué par notre cerveau, ou par certaines glandes, les neurotransmetteurs, les hormones, nous permettent de réagir et d’avoir des comportements adaptés aux situations que nous rencontrons. Ou pas….Lorsque nous sommes en stress chronique, dans l’anxiété, nous savons que nous manquons de GABA, et que nous surchargeons en cortisol, entres autres. Nous modifions, sans nous en rendre compte, tout au long de notre vie, grâce à nos expériences, nos apprentissages, les ressentis face aux situations que nous rencontrons. Nous n’avons pas les mêmes perceptions de certains événements à 20 ans, 40 ans ou 60 ans. Ce que nous avons appris pendant l’enfance, ce qui nous a été transmis, notre évolution d’adulte, nous permettent de le corriger implicitement tout au long de notre existence, grâce à nos expériences. Parfois cette correction ne se fait pas et nous sommes « à l’arrêt ». Il faut alors un coup de main. Nous savons aujourd’hui que nous pouvons modifier cette biochimie quand elle n’est pas adaptée, ou quand elle ne l’est plus. Ceci est possible grâce à ce qu’on appelle aujourd’hui « la pratique en épigénétique » ou « la thérapie en pratique épigénétique » qui permet en appliquant une méthode dite « méthode Noguès » ( www.biogenealogie.fr ) de cartographier grâce aux repères que donne la personne, les situations où elle dysfonctionne, ses souffrances, ses blocages, et donc la lecture qu’elle fait via son système d’exploitation – son cerveau émotionnel – et ses gènes – sa carte mère – de ce qu’elle vit. Ceci est possible en apprenant un nouveau fonctionnement de son cerveau émotionnel et donc en modifiant sa biochimie et utilisant, à la fin, les bons neurotransmetteurs afin de ne pas épuiser ses ressources de survie, quand on fait face à des situations qui ne sont que des situations de vie. On sait aujourd’hui que le cerveau est plastique, c’est-à-dire qu’il a la possibilité d’organiser tout au long de la vie, nos connections cérébrales, et ainsi de créer de nouveaux « sentiers » que nous empruntons quand les anciens ne mènent à rien. On sait également que le cerveau est capable de produire de nouveaux neurones, cette fonction est appelé neurogenèse. Ces deux découvertes ont moins de dix ans et ouvrent de fantastiques perspectives quant au traitement futur des maladies neuro-dégénératives, des avc, des affections qui touchent nos neurones et donc notre cerveau. Mais aujourd’hui déjà, la pratique en épigénétique permet, dans l’accompagnement individuel, d’apprendre de nouveaux fonctionnements, et de se libérer des stress inadaptés. 

C’est grâce à cette plasticité et à la neuro-genèse que nous pouvons modifier notre cerveau émotionnel afin d’emprunter de nouveaux sentiers adaptés, et ainsi modifier la carte mère de nos gènes, afin d’évoluer, et in fine, ne plus cautionner des transmissions leurrées pour soi et pour ses enfants. 

Faire du sport de façon régulière, et on ne parle pas ici de pratiques extrêmes, dans l’excès et la souffrance, active un certain nombre de neurotransmetteurs, sérotonine – qui régule notre humeur -, endorphine – qui a des propriétés analgésiques et ainsi procure du bien-être -, phényléthylamine, qu’on retrouve également dans le chocolat et qui active les neurones à dopamine. Et c’est ce dernier neurotransmetteur qui nous intéresse le plus puisqu’il a un rôle essentiel dans l’activation de notre plasticité cérébrale et notre neurogenèse. 

Ainsi en pratiquant du sport, au-delà des bienfaits constatés sur l’organisme, vous contribuez à activer les performances de votre cerveau, en amenant une des substances essentielles à son évolution. 

Créer de nouveaux neurones, activer sa plasticité cérébrale, nécessite de la dopamine, et le sport est un des moyens les plus simples et les plus accessibles pour en stimuler la production. Il faut néanmoins rester dans le plaisir d’une pratique saine et régulière. Le sport est un facteur essentiel pour la jeunesse et l’évolution de votre cerveau. 

Christophe Rivé - ENSIACET et EMLyon, praticien en épigénétique thérapeutique, coach de dirigeants d’entreprise depuis 1998, ancien responsable du marketing du marché entrepreneurs d’Ernst & Young, associé dans Afternext – fond d’investissement- , dirigeant et créateur de nombreuses PME, formé à la méthode Noguès. www.biogenealogie.fr - Marseille – christophe-rive@live.fr

Pour me contacter : manager@gregory-capra.com

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